Culture et divertissements à Fécamp autrefois
LES GROUPES DE SCENES
- Le Cercle Symphonique Amical avec « La Grande Revue Locale », joue « Non mais chez qui » en 1911 de Désiré Lacoudre, dix fois au casino municipal en 1932 « Fécamp toujours content » de Ernest et Louis Richard,
- Le Cercle Normand « Comoedia » 24ème année en 1931 ; Directeur M. Gosselin-Parmelynn, membre de la société des gens de lettres, des auteurs dramatiques et des compositeurs de musique avec M Ernest Lair membre de la société des gens de lettres, des auteurs dramatiques présente au casino de Fécamp le Samedi 24 octobre 1931 : « Prête-moi ta femme » comédie en deux actes de Maurice Desvallières avec adaptation concertante de R. Violette ; en deuxième acte « Le Tyrolien Saint-Pierre » du Petit Casino de Paris ; orchestre de l’Infernal P’tit-Super-Jazz sous la direction de Marceau Petit avec Mme Delacour au piano d’accompagnement ; ce grand Concert-bal est offert par l’Amicale des mutilés, réformés et anciens poilus 1914-18
- Le Cabaret Fécampois débute en 1934 ? avec M Mutel président, M Cattivice président, M. N. Larcher administrateur, M Maurice Reneault régisseur général ; la divette est Melle Simone Nouveau
Une revue est produite en décembre 1934 intitulée « Le Pot Pourri », avec :
- « Les mystères de Radio-Picardie » revuette humoristique d’Adrien Constantin
- « Le Vieux Fécamp et la femme moderne » comédie locale en 1 acte d’Adrien Constantin
- « Le Robinet qui Gèle » revue en 2 actes et 1 prologue d’Adrien Constantin
Sa revue en 2ème année ? est produite le samedi 3 juillet 1937 au casino municipal de Fécamp et s’intitule : « Exposition de Bonne Humeur » en deux actes ou épisodes et vingt-sept tableaux ; textes et arrangements musicaux d’Ernest Richard avec musique nouvelle de l’auteur ; une quête est faite à l’entrée au profit de l’orphelinat Saint-Michel et de l’orphelinat Saint-Vincent de Paul ; les tableaux sont :
-Premier épisode :
Chœur des consommateurs du Cabaret Fécampois
Couplets des deux membres bienfaiteurs
Couplet du journaliste local
Potins locaux par Marcel Bodini
Nos bons normands – Vieux souvenirs – poésie d’Ernest Richard
Couplets de la Loterie Nationale
Le Vieux-Fécamp
Chanson du Vieux-Fécamp
Couplets de la Bénédictine
Chanson du collège de Fécamp
Le chêne et le roseau
Couplets de l’école maternelle
Chanson des marins de Fécamp
Chanson de bord « Tire l’aviron »
Chanson des bornes lumineuses
Chanson des pompiers de Fécamp
Final du premier épisode
Final
-Deuxième épisode :
Les divertissements fécampois
Chanson de Radio-Normandie
Chanson du Cercle Symphonique Amical de Fécamp
Couplets de la Lyre Maritime
Couplets de l’Infernal Super-Jazz
Chanson des cinémas de Fécamp : Fécamp-Palace et La Chaumière
Couplets de l’exposition des produits coloniaux
Couplets de la vie chère et du contribuable
Couplets du Syndicat d’Initiatives
Chanson des facteurs
Couplet final
Les Chorales, orphéons, fanfares et orchestres
- L’Infernal Super-Jazz sous la direction de Marceau Petit avec Mme Delacour au piano d’accompagnement
- Le Cercle Amical Orphéonique chante pour la 1ère fois le 21 janvier 1900 lors d’une messe à Saint Etienne
- La Mélophile, en 1862 avec M Masurier, président
- L’Harmonie Saint-Joseph ou la Société Saint-Joseph : en activité vers 1880-1891
- La Fanfare de l’Institution Waroquet vers 1880
- L’Harmonie de Saint-Nicolas vers 1885
- L’Harmonie de la Bénédictine, vers 1892-1912 ; fondée récemment donne un premier concert le 25 septembre 1892 dans le square de la Bénédictine ; dirigée par Ferdinand Moreau (1854-1917)
- Le Cercle Amical Orphéonique de Fécamp vers 1904-1905
- L’Orphéon mixte des Etablissements Couturier ou l’Orphéon Couturier en activité en 1910-1913 dirigé par Adolphe de Buissy; donne un grand concert au Casino le 18 février 1912 ; en 1910 : récemment fondé
- La Fanfare Municipale ou Musique Municipale vers 1870-1910, le 31 décembre 1872, M Poignant chef de la Fanfare est révoqué par le Maire ; dissoute le 19 octobre 1909 suite à la démission de 27 de ses membres ; reconstituée en 1911 comme nouvelle Fanfare Municipale vers 1912
- La Fanfare des Pompiers, vers 1868, directeur Alphonse Auber
- La Société Les Enfants de Fécamp, son 1er concert a lieu le 26 septembre 1875 dans le jardin public de l’Hôtel de Ville ; dissolution le 5 novembre 1901.
- La Lyre Maritime a compté jusque près de 150 musiciens ; elle est issue de la dissolution de l'Harmonie bénédictine, des enfants de Fécamp et des Goélands et a été créée le jour de la St-Valentin en 1920 ; elle a connu de nombreux présidents : 1920 - 1922 Zéphir Petit, le premier président, 1922 - 1928 Marcel Couturier, 1928 - 1930 Alexandre Nicolaï, 1930 - 1940 Georges Hue (directeur Ets Couturier), 1940 - 1945 Le vice-président Lhommet assure la fonction de président, 1945 - 1947 Victor Laurence, 1948 - 1952 Jean Renouf, 1953 - ... Jean Auger, ... - ... Albert Crampon ; Claude Courté fût longtemps directeur de l’Harmonie. (Communication Michel Lion)
- A Yport, la Société Musicale Libre « Les Enfants d’Yport » vers 1895-1910 avec pour président d’honneur M. Cramoisan
Autres activités
- Une Société Commerciale des fêtes est fondée en 1906, jusqu’en 1912 ?, pour organiser des bals ou des concours musicaux
- Radio-Normandie est créée en 1926 (sous le nom de Radio Fécamp) par Fernand Le Grand, propriétaire de la liqueur Bénédictine. Aidée par la mairie de Fécamp et la Chambre de Commerce, la station se développe, obtient officiellement une autorisation d'émettre le 18 février 1929. A partir de 1930, elle inaugure des studios décentralisés au Havre, à Rouen, au Tréport et à Caen. La station, audible en Grande Bretagne, développe ses émissions en Anglais et devient très vite une des radios les plus écoutées à Londres en concurrence directe avec le monopole de la BBC. Les annonceurs anglais font sa fortune. En 1938, elle quitte Fécamp pour des studios spacieux à Caudebec-en-Caux et un nouvel émetteur à Louvetot. La station est réquisitionnée par les Allemands en 1940 et utilisée pour leur propagande. Durant l'occupation, elle ne sera plus qu'un relais de Radio Paris.
- Les conférences « La Falaise » Lettres Sciences et Art, responsable : Léopold Soublin
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Dates
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Titres des conférences |
Conférenciers |
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20 juin 1950 26 septembre 1950 24 octobre 1950
21 novembre 1950
10 janvier 1951 21 février 1951
11 avril 1951 30 mai 1951 19 juin 1951 9 octobre 1951 27 novembre 1951
15 janvier 1952
5 février 1952
20 mai 1952 10 juin 1952 23 septembre 1952 14 octobre 1952 28 octobre 1952 2 décembre 1952 16 décembre 1952
13 janvier 1953
3 février 1953 19 mai 1953
1er décembre 1953
15 décembre 1953
18 mai 1954 9 novembre 1954 14 décembre 1954
18 janvier 1955 8 février 1955 29 mars 1955 25 octobre 1955
15 novembre 1955 29 novembre 1955 20 décembre 1955
17 janvier 1956
28 février 1956 3 avril 1956 18 septembre 1956
18 décembre 1956
19 février 1957 16 avril 1957 12 novembre 1957
28 janvier 1958 18 février 1958 20 mai 1958
10 février 1959 24 février 1959 10 mars 1959
17 mai 1960
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L’Homme et la Mer Balzac et l’Etrangère Voyage sentimental à travers le Demi-Siècle – 1900-1950 – Sarah Bernhardt, ma Grand-Mère
Le Grand Désert La Médecine et les Médecins dans le Roman
Regards sur le Théâtre Contemporain Le Bonheur Victoire de l’Annapurna L’Amazone inconnue Le Destin du Moyen-Orient
Liszt, le Chevalier de l’Idéal
De l’Etna en Furie au Sommet du Mont-Blanc
Courteline ou l’Esprit de Caricature L’Inde et l’Occident Nez de Cuir et ses Masques Henri IV et Don Quichotte La Nature et le Cinéma A la Poursuite des Gorilles Le Canada
Le Théâtre Arlequin
Le vrai Visage de la Police Chasse au Requin
Guerre ou Paix ? Souvenirs d’un Ministre et d’un Ambassadeur de France Racleurs d’Océans
Métamorphose de notre Culture Les Espions que j’ai connus Les faux Dauphins et l’Enigme du Temple
Du Pays de Caux à la Faim du Monde L’Asie du Sud-Est entre Deux Mondes L’Aventure est sous la Mer Contes et Chansons Populaires du Canada
Images Créoles Jules Verne ou l’Aventure Immobile Au Soleil de l’Espagne
Profondeur 4050
Esquisse d’un Portrait du Christ L’Affaire Dreyfus Malraux Sartre et Camus devant l’Histoire
Festival du Rire
Yougoslavie terre qui chante Drames Judiciaires Les Profondeurs de la Mer et leurs Secrets
L’Islam ce Monde Inconnu Le Métier de Critique Dramatique Du Mexique des origines au Mexique d’aujourd’hui
L’Angleterre d’Aujourd’hui A Cuba avec Fidel Castro Dernières Images de la Vieille Chine
Colombie pays de l’eldorado |
Jean de la Varende Pierre Descaves Maurice Bedel
Lysiane Bernhardt
Roger Frison-Roche Jacques de Lacretelle
Francis Ambrière André Maurois Lionel Terray Bertrand Flornoy Général Catroux
Bernard Gavoty Et M. Jacque-Dupont Gérard Géry
Henri Maugis André Siegfried Jean de la Varende Le Duc de Levis Mirepoix Jean Painlevé Alain Mahuzier Maurice Genevoix
Xavier de Courville Et Jacqueline Pianavia Marcel Charpentier M. Foucher-Creteau Et M. Rives Georges Bonnet Anita Conti
André Chamson Pierre Nord René Escaich
René Dumont Tibor Mende Jacques Ertaud Jacques Labrecque
Roger Vercel Bernard Frank Jehan Le Povremoyne
Georges Houot Et Pierre Willm Monseigneur Le Couédic Henry Contamine Pierre-Henri Simon
Yves Tarlet
René Pommier Raymond Lindon Le professeur Yves Le Grand
Bernard Frank Jean Jacques Gautier Max-Pol Fouchet
Raymond Las Vergnas Claude Julien Guy Loriquet
J-C Stevens |
- Jeunesse Musicale de France
- Les conférences « Connaissance du Monde »
LES LIEUX DE DIVERTISSEMENTS
- Au Casino de Fécamp, directeur MM Vivès en 1910-1911, Fioroni …
Le 7 août 1868, concert de la célèbre chanteuse Carlotta Patti.
Les 8 et 9 septembre 1889, on y joue une revue locale intitulée « Cancans de Fécamp » de M. X. ?
En 1910 un procès eut lieu entre la Ville de Fécamp et M Vivès concernant la résiliation du bail du casino ; la Ville perd devant le tribunal civil mais gagne en cour d’appel.
Le casino d’Yport avait eu pour directeur Nathan
- A la salle du Trianon (ou Fécamp-Palace par la suite cinéma Palace):
A 18 heures, apéritif-bal ;
En soirée, séance de gala : au programme de Pâques 1925 avec cinq séances de une heure de music-hall et six numéros d’attraction : le dimanche : Melle Janine Valrose, diseuse à voix - les Roselynn’s dans leur duos satiriques à la mode - Parmelynm chansonnier-compositeur sa revue sur Fécamp et ses hommes illustres – le lundi : Gaston Priault le populaire baryton - le papillon au radium phénomène luminescent - Maître Césaire barde normand dans ses œuvres en patois.
On y joue en 1925 : « La légende de sœur Béatrix » œuvre originale de Baroncelli, grand drame interprété par Sandra Milowanoff, Eric Barclay et Suzanne Blanchetti, puis « Nantas ».
Autre représentation en 1926 ? avec cinq séances, au programme : C’est la France – L’assommoir – La valse des Mercantis – entr’acte - Grand tu grandiras – Le tango de minuit – La tasse de lait –
- Une salle de spectacle située à l’angle des rues A Legros et P Vasselin (maison Gervais) est acquise par M Franchy le 18 mars 1848
- En 1848, le local du cirque Loyal situé place du Vieux Marché
- Le Théâtre Vambac situé place de l’Hotel de Ville détruit par un ouragan en 1876
- Le théâtre du Mont Saint Léger, salle de spectacle de la fin du 18ème siècle située rue Saint Léger, assez vaste et bien décorée avec un parterre, des secondes et une galerie semi-circulaire, et puis des loges au premier étage ; 500 personnes pouvaient y prendre place ; créée vers 1796, elle n’existait déjà plus en 1810 … (voir histoire des rues de Fécamp par Daniel Banse page 80)
- Le 9 avril 1871, un nommé Canu ouvre une petite salle de concert spectacle rue des corderies près des bains
- La Salle Grout ou les Jardins de l’Elysée, installée dans la propriété de M Grout, en contrebas de la rue des Galeries servait de salle de conférence ou de réunions, vers 1871-1896, inaugurée le 19 novembre 1871
Dénommé aussi « Le Théâtre de la rue des Galeries » : On y joue pour la 1ère fois le 8 mars 1875 une pièce intitulée « Les voyageurs pour Fécamp ou la ligne, revue ou Tout Fécamp défile » de M. G Bourdon, l’un des artistes de ce théâtre ; cette pièce a été jouée tous les soirs pendant une semaine avec un plein succès.
- A proximité de la salle Grout, existant antérieurement la salle de bal « Le Trou Madame »
- La Salle du Val aux Clercs, située rue du Val aux Clercs, précédemment la 1ère gare ferroviaire de Fécamp ; inaugurée le 8 juin 1884, la pose de la première pierre eut lieu le 25 novembre 1883 ; par la suite cinéma « La Chaumière » .
Le 13 juin 1886, on y joue pour la 1ère fois la revue locale « Fécamp-sens-dessus-dessous », avec une 2ème représentation le lendemain
Le 11 mars 1901, concert par le Cercle Amical Orphéonique et La Symphonie
Le 13 février 1904, un bal y est organisé par la Jeunesse Fécampoise
Le 5 février 1905, le Groupe Amical des Trompettes du Havre y donne un concert
Le 8 janvier 1906, Polin, le célèbre comique parisien y donne une soirée où 1800 spectateurs entassés l’applaudissent.
Le 23 octobre 1908, Polin donne une nouvelle représentation comprenant « La Générale » avec des chansonnettes et des monologues comiques.
- La Salle de l’Union, située rue de l’Aumône, construite en remplacement d’une maison de Vve Poindefer, incendiée en 1891, inaugurée le 24 août 1896, acquise en 1962 par la Ville de Fécamp
Le 24 avril 1898, concert par l’Estudiantina Havraise (Mandolinistes)
Le 16 décembre 1905, bal organisé par l’Harmonie de la Bénédictine, avec grand succès .
Le 27 novembre 1908, Botrel le célèbre poète breton et sa femme se produisent ; la salle est bondée de spectateurs.
Les 25 et 29 avril 1909, représentation de « Jeanne d’Arc », un drame en 5 actes.
- Les cinémas de Fécamp : « Le Rex Normandie » place Thiers, « La Chaumière » rue du Val aux Clercs, ex-salle du Val aux Clercs, gérant Mauger, et le « Fécamp-Palace » rue Félix Faure, ex Salle du Trianon.
LES AUTRES MANIFESTATIONS
- Le bal de la Marine Française aux accents endiablés de l’Infernal Super-Jazz où tout le monde portait une casquette d’officier de Marine
-
La Saint-Pierre des Marins : La Saint-Pierre ou "Pardon
des Terre-Neuvas" était une tradition du temps où les morutiers partaient
pour trois, voire cinq mois, pêcher la morue dans les mers de Terre-Neuve ou du
Groenland. Avant le grand départ de la mi-février, une grand-messe était célébrée
et suivie avec ferveur par toute la communauté maritime de Fécamp et des
environs, et une bénédiction des bateaux avait lieu dans le port.
Avec la disparition des grands chalutiers Terre-Neuviers, cette cérémonie était
tombée dans l'oubli. L’association des Terre-Neuvas s'est fait un point
d'honneur à la réhabiliter. C'est chose faite depuis 1997, avec un succès
grandissant. En 2003 la messe a été télévisée et retransmise en direct sur
France2 dans l'émission "Le jour du Seigneur". En 2004 elle a été
célébrée par l'évêque du Havre.
- Cavalcade historique du 14 avril 1884 avec l’entrée de François 1er à Fécamp,
Le bal des Oeuvres de Mer en 1904
Carnaval de 1906,
Fêtes du Millénaire Normand le 13 juillet 1911
Fête des Fleurs du 7 août 1921,
Les Fêtes de la Fraternelle
Les Fêtes Républicaines en 1889
Les Fêtes de l’Union
Les Cavalcades de la mi-carême,
Les Cavalcades du lundi de Pâques en 1867, en 1878 …
Les Cavalcades de bienfaisance
Fécamp fête le célèbre Pan-pan – voir ci-dessous -…
LES AUTEURS
- G . Bourdon : auteur d’une revue locale intitulée « Tout Fécamp défile » représentée dans la salle « Le Trou Madame » le 8 mars 1875
- Charles Durand (1863-1907) ou Carolus d’Harrans : auteur de pièces de théâtre, dont une comédie en un acte « Souvent femme avarie » jouée au Casino le 3 juillet 1904.
- Adrien Constantin (1873-1943) né à Fécamp le 10 mars 1873, dcd le 17 octobre 1943, Industriel mais aussi artiste et musicien,membre de la société des gens de lettres et de la société des auteurs
marié le 1er octobre 1898 à Ellen Hearne irlandaise, il écrivit :
« Fécamp Trotte » en 1909, revue en 3 actes, 4 tableaux et un prologue ; première représentation à la salle du Val aux Clercs le 5 décembre 1909 ; grand succès renouvelé aux 5 ou 6 représentations qui ont suivi
« As-tu vu la comète » en 1910, revue locale en trois actes : première représentation jouée le 13 novembre 1910, avec les six autres eut un grand succès ; puis rejouée au casino le 6 février 1911 jour de la Saint Pierre des Marins
« On sent qu’ça pousse » en 1911 avec Charles Duboc revue de printemps en un acte ; jouée au casino le 30 avril 1911 par la Symphonie Amicale de Fécamp
« Fécamp Rataplan » en 1913 le 30 novembre première représentation à la salle du Val aux Clercs ; revue en trois actes et quatre tableaux
« Fécamp-Galope » en 1920 ou 21 ? revue locale en trois actes
« De l’eau de l’eau » en 1922
« Tout pour les Dames » en 1923
« As-tu vi l’Miniss ? » en 1924 revue politique drolatique et locale en 3 actes et 5 tableaux
En 1917, il préface « Aux gars de Normandie » de Gaston Demongé
En décembre 1934, il écrit le revue du Cabaret Fécampois intitulée « Le Pot Pourri »
- « Les mystères de Radio-Picardie » revuette humoristique
- « Le Vieux Fécamp et la femme moderne » comédie locale en 1 acte
- « Le Robinet qui Gèle » revue en 2 actes et 1 prologue
- Ernest Richard (1900-1977) auteur-compositeur et violoniste, collaborateur de l’ « Esprit français », lauréat de l’association Léopold Bellan en 1933-34-35 ; il écrivit :
« Lâches » en 1932
« Le sacrifice d’Andrée » en 1933 roman
« Midinette » en 1936 roman
« Le cousin de Madagascar » en 1937 comédie en un acte avec des rôles féminins
« Fécamp toujours content » en 1932 avec Louis Richard, dans « La Grande Revue Locale » par le Cercle Symphonique Amical, joué dix fois au casino municipal
« Le sourire du pays » en 1933 mis en scène par Maurice Reneault
« Exposition de bonne humeur » en 1937 joué onze fois au casino
« Professeur Macramé » comédie
« Petit Chéri » opérette joué au bénéfice des déportés
« A S S A c’est drôle” revue jouée lors de la libération
« Dans les plates-bandes » opérette
« Comice agricole » sketch cauchois
« Va mon bateau »
« Normande qui sourit »
« Un tour de cadran » opérette en deux actes
« Culotte verte » comédie lyrique en quatre tableaux d’après les contes flamands de Ch. Deulin
- Camille Robert Desert (1893-1976) né à Goderville et résident à Sausseuzemare
Il écrivit :
« Remède de Bonne Femme » comédie rustique en un acte
« Le théâtre au village – l’invitation –Scène de la vie paysanne » collection Semailles
« La rue d’Enfer – heurs et malheurs d’un petit paysan de 1900» en 1972
« Contes du Pays de Caux »
Dans la commune de Mont-Cauvaire, il y eut l’expérience pendant la dernière guerre (1943) du « Théâtre aux Champs » avec une société d’art dramatique et folklorique créée par C. R. Désert .
- Désiré Lacoudre (1884-19xx) alias Guy de Lourcade : rédacteur en chef du Journal de Fécamp depuis 1907, puis journaliste au Havre-Eclair ; de lui :
« Non ! Mais chez
qui ? » : « Le 17 décembre 1911 au Casino de Fécamp, Grande
Revue locale, en 3 actes et 4 tableaux, paroles et couplets de Désiré Lacoudre
– arrangements et orchestration Ferdinand Moreau – décors et mise en
scène de M. Grugeon – couplets et chœurs accompagnés par le Symphonie Amicale
(35 exécutants).
Le scénario de la pièce : Imaginez qu’à la dernière kermesse on ait
annoncé à Fécamp l’arrivée d’un ministre voyageant incognito.
Imaginez que, par un de ces hasards dont la vie est fertile, on aperçoive en
ville un citoyen qui ressemble au ministre attendu, mais qui lui ressemble
comme deux gouttes d’eau, tenez, par exemple, comme si l’ami Guy de Lourcade
ressemble à Lacoudre. Imaginez toujours que ce citoyen, un honnête arroseur du
Havre, pris pour le ministre, soit chargé d’inaugurer les fêtes....... »
(communication Michel Lion)
- René Prud’homme, interprète patoisant en collaboration avec Raymond Derrey
« A Angerville, on s’fait pas d’bille » en deux actes, une apothéose et vingt tableaux, joué en 1947 à Angerville l’Orcher
« A Saint-Romain y a des poilus » en janvier 1948
« A Criquetot tout est beau » en octobre 1948.
« Mais mais mais qui qu’aurait cru » joué le 6 novembre 1949 ?
- Gihères : habitant du Havre mais qui collabore avec Fécamp à partir de 1934.
En 1939 « Ca fait Can Can » revue en 3 actes et 14 tableaux locaux dont « Le Bout Menteux » en collaboration avec Servain
- Georges Segaut alias Georges Normandy (1882-1946) : « Les Chansonniers Gaillards » , une anthologie de chansons légères du 15ème siècle à nos jours – éditeur Louis Michaud à Paris –
« L’honnête Homme » un acte en prose
« La Maison Philibert » d’après Jean Lorrain, en quatre actes.
« Anarchistes » en collaboration avec M-C Poinsot, un drame social en trois actes en prose joué en 1905 au théâtre municipal de Lille
« Les Vaincues » en collaboration avec M-C Poinsot, trois actes en prose
- Et aussi Moreau de Bauvière et Stanislas de Charnal auteurs de: « Le cousin du Pays de Caux », comédie en un acte jouée sur tous les théâtres de Paris dont pour la première fois le 11 mars 1864 au théâtre des Folies Dramatiques, publiée au Magasin Théâtral en 1864 J. Barbré éditeur
- René Fath : « Une Idylle au Pays de Caux » parue dans la Revue Hebdomadaire de 1896
Fécamp, mars et juin 2015
YDF
PS : voir sur ce même sujet l’excellent site de Michel Lion: http://www.fecamp-festif.com