Histoire de l’enseignement à Fécamp
La toute première école de Fécamp aurait été créée en 1001 par le 1er abbé de Fécamp Guillaume de Volpiano; celle-ci était publique et gratuite, ouverte aux pauvres, établie pour les lettres et pour les chants; les frais étaient fournis par des fondations et des legs pieux; elle dura pendant tout le Moyen Age ; le monastère assura aussi l'enseignement des moines, clercs et novices; un Manoir de la Grande Ecole situé dans la rue du même nom devait en avoir l'office.
A partir du 18ème siècle, les sœurs de la Providence prirent le relais pour ce qui concerne l’éducation des jeunes filles.
Au cours du 19ème siècle
· Pendant la Révolution, l'enseignement religieux catholique est interdit; en parallèle, la municipalité procède à l’installation de quatre instituteurs communaux et une institutrice communale.
· Le cercle des écoles est situé près de l’ancienne mairie
· Après le Concordat, l'enseignement catholique est à nouveau autorisé
· 1830 : les sœurs de la Providence s’installe rue des galeries dans la propriété Vattemare-Giverville
· par acte de Me Cellier notaire à Rouen du 7 mai 1835 François Nicolas Guérin de Marconville fait donation aux Frères des Ecoles Chrétiennes d’un immeuble situé rue du Carreau consistant en une maison avec petite cour devant et petite cour derrière
· 1846 Mademoiselle de Giverville, fait don de 48 000 francs aux Frères des écoles chrétiennes pour l’instruction des enfants pauvres;
· 1856 : l’école des sœurs Saint Vincent de Paul est transférée depuis xx dans le nouvel hôtel de ville.
· Le 29 juillet 1873: la propriété Massif du 17 rue des galeries est vendue pour la somme de 39 000 francs aux sœurs de la Providence, déjà voisines installées depuis 1830 dans la propriété Giverville
· 1er janvier 1881 : fermeture de l’école située à l’angle de la rue Georges Cuvier et de la sente de la Fromagerie qui était tenue par les Frères des Ecoles Chrétiennes
· Lois Ferry des 16 juin 1881 et 28 mars 1882 sur l'enseignement primaire public et gratuit, l'instruction primaire obligatoire et l'enseignement laïc dans les établissements publics.
· 10 août 1885 : le conseil municipal vote la laïcisation de l’école de filles, tenue par les Sœurs de la Providence, appelée Saint-Quentin, en souvenir de la sœur Quentin qui l’a dirigée pendant de nombreuses années.
· 5 octobre 1885 : ouverture du pensionnat Saint Joseph rue du carreau dirigé par le frère Arthémien, directeur des Frères des Ecoles Chrétiennes.
· Février 1886 : décès de la sœur Quentin, religieuse de la Providence, âgée de 84 ans, elle faisait la classe à Fécamp depuis 68 ans.
· 26 septembre 1886 : inauguration de l’école Saint Ouen pour garçons et filles dans les locaux de l'ancienne scierie de Pierre Sautreuil.
· Loi Goblet du 30 octobre 1886: l'enseignement dans les écoles publiques est confié à un personnel exclusivement laïque; redéfinition de l'enseignement primaire.
· Août 1887 : adjudication de la construction des écoles du Port et de l’Abbaye.
· Août 1889 : inauguration par le préfet des écoles de garçons de l’Hôtel de Ville et du Port.
· 9 septembre 1892 : le conseil municipal en application des lois Ferry et Goblet de 1882 et 1886 décide la laïcisation de l’école maternelle de l’Abbaye et de l’orphelinat tenue par les sœurs de Saint Vincent de Paul et leur accorde quatre mois seulement pour se retirer ; les sœurs sont recueillies plus tard par M. A. Le Grand qui leur permet de s’installer dans l’ancienne propriété Boufart au numéro 3 ou 5 ? de la rue Théagène Boufart
· Le 25 novembre 1892: Une société civile des écoles chrétiennes de Fécamp est créée par acte de Me Ronceray notaire à Fécamp; elle sera dissoute par acte de Me Nicolai du 16 octobre 1913
· Février 1895 : fondation de la société des amis et anciens élèves des Frères ; monsieur René Gayant en est élu président
· Juillet 1896 : inauguration au pensionnat des Sœurs de la Providence rue des Galeries d’une salle des fêtes construite des deniers de la directrice, Madame Jonas .
· Décembre 1897 : 1ère fête annuelle de la Société des Amis et Anciens Elèves des Frères
· 22 mars 1898 : le frère Aumer – François Langelier – natif de Brécey – Manche – directeur de l’établissement des Frères des Ecoles Chrétiennes de Fécamp est mort ce jour ; il était à Fécamp depuis octobre 1892.
Au cours du 20ème siècle
· 28 juin 1902 : décès de la sœur Pontus, âgée de 77 ans, directrice de l’école des Sœurs de la Providence rue de Mer ; elle était à Fécamp depuis 1858 soit depuis 44 ans.
· 18 août 1902 : réouverture de l’école maternelle tenue par les sœurs de Saint Vincent de Paul rue des jardins, fermée depuis le 19 juillet 1902.
· novembre 1902: inauguration de l'école de filles de l'hotel de ville, avec une classe maternelle.
· 22 mars 1903 : inauguration du Cercle de la Caisse des Ecoles – laïques – installé dans l’ancienne école Quentin, près de presbytère de l’Abbaye.
· 27 septembre 1903 : décès du frère Aubry-Paulin, directeur de l’établissement des frères de Fécamp – décès subit après le concert offert dans le pensionnat –
· 31 octobre 1903 : fermeture de l’école maternelle rue des jardins, tenue par les sœurs Saint-Vincent de Paul ; le soir, un groupe de nationalistes pour protester contre cette fermeture se rendent devant la propriété du maire en poussant des cris et demandent sa démission.
· 1904 : premier ? anniversaire de la Fondation de la Caisse des Ecoles
· 9 et 10 janvier 1905, le liquidateur Couturier de Paris accompagné du juge de Paix de Fécamp procède à l’inventaire du mobilier des Sœurs de la Providence dirigeant trois écoles à Fécamp.
· 7 juillet 1906 : un décret de ce jour ordonne la fermeture le 1er septembre 1906 des deux écoles des Frères et de trois écoles des Sœurs de la Providence et de l’école des Sœurs Saint Vincent de Paul – en tout sept écoles ? -
· Juillet 1906 : on procède à la mairie à l’adjudication en 11 lots des travaux de construction d’une école de garçons rue Gustave Lambert, travaux évalués à 91 070 francs.
· Le 11 septembre 1906 : à 5 heures du matin, conformément à des ordres donnés en haut lieu, on a enlevé la croix qui surmontait l’entrée du pensionnat des sœurs de la Providence rue des Galeries, fermé par décret du 1er de ce mois.
· 4 octobre 1906 : il est procédé à la vente du mobilier des sœurs de l’école Quentin rue de l’inondation ; des spectateurs ne cachent pas leur indignation ; un grand nombre d’objets sont remis aux sœurs par des acheteurs généreux.
· 7 janvier 1907 : ouvertures des classes nouvelles de l’institution Saint Joseph boulevard de la République.
· 9 avril 1907: par acte de Mes Fessard et Nicolai notaires à Fécamp, création de la Société Anonyme des œuvres paroissiales de la Sainte Trinité de Fécamp au capital de 10 000 francs dont le siège est au 22-24 rue de Bolbec; transformée en association par acte de Me Henri Duboys Fresney notaire à Fécamp du 2 décembre 1969 ou 25 mars 1970 avec un siège au 23 rue des Forts; administrateurs: Adrien Dubosc Breton Cousin Pottier; dénommée par la suite "Association des Ecoles Libres et Œuvres de la paroisse Saint Guillaume de Fécamp"; dissoute en 2015, les actifs étant transférés au Diocèse du Havre
· Par jugement du 13 septembre 1907, la ville de Fécamp acquiert le pensionnat La Providence de la rue des galeries – ancienne propriété Massif ? – au prix de 39 000 francs
· 1er octobre 1907 : ouverture du collège de jeunes filles installé dans l’ancien pensionnat exproprié des sœurs de la Providence rue des Galeries.
· 2 octobre 1907 : ouverture du petit lycée installé dans l’aile droite de l’hôtel de ville.
· 22 janvier 1908 : un juge d’expropriation siège à Fécamp et fixe à 60 000 francs l’indemnité à payer par la Ville pour l’ancien pensionnat des Sœurs de la Providence rue du Carreau.
· 22 mars 1908 : monsieur Maujan, sous-secrétaire d’Etat à l’Intérieur fait visite à Fécamp : il y préside l’inauguration du lycée de garçons de l'hôtel de ville, du collège de filles de la rue des galeries – bien que ces deux établissements soient ouverts depuis le 1er et 2 octobre 1907 – et d’une école de garçons dans le quartier du port ; le tout a eu lieu sous une pluie torrentielle.
· 1908 : création de l’association des Amies et Anciennes Elèves du Pensionnat de l’Abbaye et de l’Institution Jeanne d’Arc
· 6 avril et 2 août 1914 : par acte de Me Nicolai notaire à Fécamp, vente de l'établissement Waroquet à la Ville de Fécamp le maire étant Robert Duglé, en vue de la création d'un collège de garçons ; celui-ci était jusqu’alors dans une dépendance de l’Hôtel de Ville ; des plans sont établis par Emile Mauge architecte, mais en raison de la guerre et aussi du coût, le projet est abandonné en 1920 ; il sera repris en 1930 avec des plans légèrement modifiés.
· 1918 : procès entre les ayants-droit de Giverville et les Frères des Ecoles Chrétiennes
Les établissements de La Providence
Sous l'ancien régime - Par suite du refus du couvent des Annonciades fondé en 1644 d'ouvrir une école de jeunes filles et dès son arrivée en 1682 – ou en 1691 ? - , la Congrégation des Soeurs des Ecoles Chrétiennes et Charitables de l'Enfant Jésus, dites « Sœurs de la Providence », fondée par le père Nicolas Barré en 1666, dispense un enseignement gratuit aux petites filles pauvres dans une, puis deux écoles de la ville et ce, jusqu'à la Révolution.
Pendant la Révolution, La Providence doit cesser ses
activités.
A partir de 1808, l'école est réorganisée, un pensionnat est fondé en 1831 et
en 1850 les écoles de La Providence accueillent 750 élèves.
En 1906, les écoles sont fermées. Madame Marcel Le Grand met alors à la
disposition de Madame Duneuf-Germain une propriété rue Félix Faure. Le grand
pensionnat de l'Abbaye continue dans la maison de la rue Jean-Louis Leclerc et
devient l'Institution Jeanne d'Arc. La prospérité revient.
En 1940, Monsieur Le Clerc offre sa propriété. L'Institution poursuit ses
activités.
En 1954, l'école Jeanne d'Arc rue Jean Louis Leclerc et l'école Sainte-Marie
rue Félix Faure fusionnent et deviennent l'Institution de La Providence, en
1956, l'école Saint-André rue de l'inondation fusionne à son tour.
Enfin en 1968, Saint-André et La Providence deviennent un seul établissement
d'enseignement religieux mixte, allant de la maternelle au B.E.P.C.
En 1970, par acte de Me Macron notaire à Fécamp, création de
l'association des écoles catholiques de Fécamp siège à Fécamp 27 rue Jean Louis
Leclerc; premiers administrateurs: Balier Bedouelle Cousin Deschamps Patourel;
dernier administrateur Verdure; cette association est ou était propriétaire de
l'immeuble 27 rue Jean Louis Leclerc
Depuis 1974, le collège est
installé rue de l'Inondation, ancienne école Saint-André, propriété de
l'association des écoles libres et œuvres paroissiales de la Saint Trinité de
Fécamp depuis ?
Depuis 1978, toutes les écoles maternelles et primaires se tiennent au 25 rue Jean-Louis LECLERC propriété de
l'association de Neuvillette (acte de Me Rochette notaire à Rouen du 12 mars
1973) au 27 rue Jean Louis Leclerc propriété de l'association des écoles
catholiques de Fécamp et 41 rue Félix FAURE propriété de l'association de
Neuvillette dont le siège est à Mesnil Esnard 6 rue de Neuvillette à la
maison-mère de La Providence.
En 1979, le pensionnat ferme et de nouvelles classes
primaires s'ouvrent.
Le 20 novembre 1981, création de l'OGEC-Fécamp,
organisme de gestion de l'école catholique l'institution mixte de la Providence
à Fécamp 76 dont le siège est à Fécamp 25 rue Jean Louis Leclerc (JO du 19 mai
1982)
En 1993, acquisition par l'OGEC toujours de la
famille Le Clerc du terrain 23 rue Jean Louis Leclerc puis construction d'une salle de restauration,
d'une cuisine et d'une salle de sport.
En 1995, le lycée ouvre ses
portes au 35 rue Queue de Renard suite à une acquisition de terrain par l'Ogec
auprès de Melle Simone Leroux ancien professeur de l'institution.
En 2012, rapprochement avec l’école Saint Louis de
Fauville-en-Caux.
En 2014, Extension du site du lycée avec la
construction d’un gymnase.
"L'école de la rue Félix Faure », depuis sa création en 1906 et jusqu’en 1954, portait le nom de Sainte-Marie ; il était donc logique et naturel de le lui restituer. Ce qui fut fait jeudi en présence d’élèves, de parents et du père Duménil. Ce faisant, « l’école de la rue Jean-Louis-Leclerc » a bénéficié du même sort mardi : autrefois dénommée « Jeanne d’Arc », elle s’appelle désormais Saint-Joseph, nom choisi en raison de la présence de la statue du saint dans la cour(voir Paris Normandie du 6 juillet 2015)
Les établissement des Frères des Ecoles Chrétiennes
Les Frères des Ecoles Chrétiennes ont eu également une place importante dans l'enseignement des garçons à Fécamp; installés rue du carreau par le bénéfice de deux donations importantes l’une de M. François Nicolas Guérin de Marconville par acte de Me Cellier notaire à Rouen du 7 mai 1835 d’un immeuble situé rue du Carreau consistant en une maison avec petite cour devant et petite cour derrière, l’autre de Melle de Giverville d’une somme de 51 000 francs versée en 1846 et en 1849.
Les établissements cessent en 1906 contraints et forcés par la loi de séparation des Eglises et de l’Etat.
Un procès eut lieu plus tard dans les années 1907-1919, sollicité par les descendants de l’héritier de Melle de Giverville et de François de Marconville, la famille Dubec-Emo, contre les Frères des Ecoles Chrétiennes pour demander à ces derniers un droit de retour à leur profit des deux dons effectués à cause de l'inéxécution de la charge et contrepartie d'avoir eu à réaliser un enseignement gratuit, celui-ci ayant du cesser en 1906 ; la demande, admise en appel, a été rejetée par la cour de cassation.
Julie de Giverville (1772-1847)
Mademoiselle de Giverville est bien connue à Fécamp pour sa générosité et ses bienfaits en faveur de l’hôpital de Fécamp (voir l'article Madame de Giverville par Claire Chauvin dans le livre Hôpital de Fécamp mille ans d’histoire édition des Falaises 2005 pages 49 et 50) ; celle-ci l’est un peu moins pour ses œuvres en faveur de l’éducation des enfants pauvres.
Julie Angélique Désirée de Giverville est née à Fécamp paroisse Saint Fromond le xx 1772 ; son père était Antoine de Giverville (1739- ??), un capitaine d’infanterie affecté à la place de Fécamp, sa mère Marie Angélique de Vattemare (1744- ??) mariés tous deux à Fécamp en 1769 ; son père émigra lors de la Révolution, Julie resta seule avec sa mère pendant ce temps-là, enfermées sous la Terreur avec leurs biens confisqués ; la famille Vattemare était de noblesse protestante, installée de longue date à Fécamp et dans la région à Hougerville ou à Maupertuis ; Daniel de Vattemare le père de Marie Angélique habitait rue des galeries numéro 17 ( ? maison Massif ?)
Dès 1830, Julie de Giverville met à la disposition des sœurs de la Providence de Rouen l’immeuble Vattemare de la rue des galeries pour l’éducation des jeunes filles. En 1844-1846, de concert avec xx de Maucomble (1796-1871) la supérieure des sœurs bénédictines hospitalières de Fécamp, elle donne 80 000 francs à l’hôpital de Fécamp pour la construction d’un bâtiment et d’une nouvelle chapelle ; le nom du nouvel établissement sera Saint-Antoine, comme le père de Julie. Dans le même temps en 1846, elle donne 40 000 francs plus 8 000 francs après son décès par son légataire aux Frères des Ecoles Chrétiennes pour l’école de la rue du carreau.
Elle décède à Fécamp le 26 mars 1847 laissant sans postérité un testament reçu par Me Caron notaire à Fécamp le 22 mars précédent en faveur de Pierre Philippe Dubec négociant à Fécamp (1775-1868)
Tableau synthétique
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Etablissements |
Adresses |
Périodes |
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La Providence |
Pensionnat de filles-laïcisé-
Ecole et congrégation
Ecole Quentin -laïcisée-
Institution Jeanne d'Arc - filles
Institution Saint-Joseph - garçons Institution Sainte-Marie
Ecole du Sacré Cœur - filles
Ecole Saint-André - garçons
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17 rue des Galeries 7 rue de mer ? rue ? puis rue de l'inondation n° ? 25 rue Jean Louis Leclerc
39 rue de la République 41 rue Félix Faure - ex rue aux juifs - propriété Elie Selle ? 27 rue de l'Inondation 29 rue de l'inondation |
18xx - 1906
1907-19xx
depuis xx |
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Frères Ecoles Chrétiennes |
Ecole Ecole
Ecole Pensionnat de garçons Saint-Joseph et congrégation
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rue du moulin rue Georges Cuvier et sente fromagerie rue de l'inondation 12 rue du Carreau |
1836 18xx-1881
1885-1906 |
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Sœurs Saint Vincent de Paul |
Ecole de l'Abbaye - laïcisée
Orphelinat
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Nouvel Hôtel de Ville transféré au 3 rue Th Boufart puis rue des jardins |
1856-1892 1892-1906 |
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Ecoles Publiques |
Ecole filles et garçons quartier Saint Ouen Ecole de garçon de l'hotel de ville puis lycée de garçons en 1908 Ecole de filles et école maternelle Collège communal de jeunes filles Ecole de garçons du quartier du port Ecole de garçons puis de filles ?
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145 rue de Rouen
rue Paul Bert - 1er bâtiment
rue Paul Bert - 2ème bâtiment
rue Eugène Marchand
18 rue Gustave Nicolle
24 rue Gustave Lambert |
depuis 1886
depuis 1889
depuis 1902
1907-19xx
1908 |
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Pensions |
Pension Waroquet puis Fouchard puis collège public
Pension Lemonnier
Pension Bellet
Pension Poulain
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37 rue Georges Cuvier et rue du capitaine Gilles
3 rue Théagène Boufart
rue des capucins
rue du Bail |
18xx - 1886 - 1913 -1930
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Orphelinats |
Saint-Michel
Saint-Vincent de Paul
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note: la rue du Carreau est aujourd'hui la rue Eugène Marchand
Les autres écoles – les autres cours
· 1745: première école d'hydrographie à Fécamp
· 1876 : l’école d’hydrographie cesse de fonctionner ; elle réouvre en 1892
· 1899 : inauguration de la nouvelle école des Pêches Maritimes
· Octobre 1903 : un cours gratuit de droit commercial professé par Me Lange, agréé est ouvert au cercle des Ecoles le lundi de chaque semaine.
· 1906 : à l’école d’infirmières de l’hôpital ?, 17 sœurs de la Compassion et de l’Hospice reçoivent le diplôme.
· 8 novembre 1911 : création de l’école d’apprentissage
· Mars 1913 : une école professionnelle est créée rue de la cascade par les syndicats professionnels
· Vers 1990, des cours de capacité en droit sont donnés à Fécamp par Melle Douillet
- I.M.E. (Institut Médico-Educatif) 931 rue Jean-Louis Leclerc Directeur : David LAMALIERE
Les établissements d'enseignement à ce jour:
Le lycée Guy de Maupassant Plateau Saint Jacques, Proviseur : Didier PINEL 1575 , Boulevard Nelson Mandela: 4 600 inscrits en 2015, ouvert depuis xx
Le lycée professionnel Descartes Plateau Saint Jacques
Le lycée privé La Providence Proviseur : Hervé LECOMTE 35 rue Queue de Renard: 270 inscrits en 2015 ouvert depuis 1995.
Le lycée professionnel maritime Anita Conti Proviseur : Eliane MAHEUT 84 quai Guy de Maupassant, ouvert depuis 1997.
le collège Paul Bert, Principal : M. Samuel LODDE 2 rue Paul Bert
le collège La Providence, Principal : Hervé LECOMTE 29 rue de l'Inondation: 610 inscrits en 2015
Le collège Jules Ferry, Principal : Sébastien VAUCHEL 391 rue des Murs Fontaine précédemment rue Eugène Marchand, ouvert depuis xx
Le collège Georges Cuvier, Principale : Martine CRAMILLY 23 rue du capitaine Gilles
Les écoles élémentaires:
- École élémentaire Jean Lorrain
Directrice : Géraldine FLEURY 248, avenue Jean Lorrain
- École élémentaire François Rabelais Directrice : Nadine LEVERT 19, rue
Georges Bourgeois
- École élémentaire du Port Directeur : Rémi CANDELIER 22, rue Gustave Nicole
- École élémentaire Jean Macé Directeur : Michel DESJARDINS 145, rue Gustave
Couturier
- École élémentaire Albert Camus Directeur : Olivier HERICHER Rue Paul Doumer
- École élémentaire Alphonse Allais Directeur : Gilles MALANDAIN Rue d’Alsace
- École élémentaire privée « La Providence » Directrice : Geneviève AVISSE 25,
rue Jean-Louis Leclerc
Les écoles maternelles :
- École maternelle du Parc
Directrice : Julie VIVAN Le Val de Bucaille
- École maternelle du Pavillon de l’Enfance Directrice : Valérie LEMAITRE 37
ter, boulevard de la République
- École maternelle Germaine Coty Directrice : Véronique VAUCHEL 17, rue du 14
juillet
- École maternelle Jean Macé Directrice : Valérie TERRASSE 145, rue Gustave
Couturier
- École maternelle Alphonse Allais Directrice : Julie MIGNOT 7, rue d’Alsace
- École maternelle Jean Lorrain Directrice : Désirée PLUVINAGE 248, avenue Jean
Lorrain
- École maternelle privée « La Providence » Directrice : Geneviève AVISSE 25,
rue Jean-Louis Leclerc Annexe : 41, rue Félix Faure
YDF
Sources:
· Ephémérides fécampoises de Charles Pollet
· Site internet de La Providence, du collège Cuvier, de la mairie de Fécamp
· Archives des notaires de Fécamp
· Revue de droit Dalloz jurisprudence générale 1921 tome 151 page 132-134 par Gallica